La Direction Appui canin de la police fédérale et ses collègues des Unités spéciales ne doivent informer l’IBPT de l’utilisation de brouilleurs, ou « jammers », que si l’IBPT en fait la demande. Cela vaut également pour le SEDEE, la Sûreté de l’État et le Service de renseignement militaire (SGRS).
Interventions urgentes ou secrètes
Il n’est en effet pas possible ni souhaitable pour la police, le SEDEE et le SGRS d’informer l’IBPT à l’avance de chaque utilisation de jammers. Les appareils sont fréquemment utilisés en cas d’interventions urgentes ou secrètes.